P'tite histoires...

Mwahahah, voilà la magnfiique histoire de mon Ange Déchue sur Elvarion, Kitsua... ^^

Tout est noir. Crysa à les yeux grand ouvert, elle a peur. A cet instant, elle doit avoir 7 ou 8 ans. La fillette tremble. Elle a froid. Ses larges vêtements blanc ne la protège pas du vent glacial. Dans cet univers inexistant, il n’y qu’une chose. Le silence. Un silence rompu par les gémissements du vent. L’enfant appelle à l’aide, des larmes coulent sur ses joues malgré elle. Et puis soudain, une lumière. Sur ce qu’elle pense être le sol. La jeune fille avance vers cette lumière. Un gouffre. Un immense trou, lumineux. Elle ne vois ce qu’il y a dedans. La fillette se penche. Soudain, elle bascule. Essaye de se rattraper. Pleur. Tombe. Hurle. Et puis, plus rien. Voilà le premier souvenir de Crysa.

La jeune fille ouvrit les yeux. Elle se trouvait allongée dans l’herbe, au milieu d’une clairière. Elle à mal aux partout, mais surtout au dos. Crysa sens quelque chose, dans son dos. Crysa sens qu’il y a quelque chose de nouveau. Elle se redresse doucement, toute cassée, et avance ça main, hésitante. Elle se touche la nuque, et sens quelque chose. Une matière douce lui a frôler la main. Apeurée, l’enfant retire sa main. Qu’est-ce que c’était ? La jeune fille recommence. Elle descend un peu. Sur l’omoplate… Qu’elle ne touche pas vraiment, car elle sens une bosse. Elle remonte doucement la main, effrayée, et caresse pour la première fois ses grandes ailes. Les longues plumes noires glissent entre ses doigts, elle retire sa main en criant. Paralysée, elle resta ainsi quelques instant, avant de se lever à toute vitesse. Trop vite. Crysa s’écroule sur le sol. Elle colle son visage contre la Terre. Arrache de l’herbe avec ses doigts fins et fragiles. Sanglote. Elle ne sait pas qui elle est, elle ne sait pas comment elle est arrivée là, elle ne sait pas ce qu’elle doit faire… Elle ne sait pas. La jeune fille à peur. Très peur. Elle resta ainsi plusieurs heures, crispée et effrayée au dernier degré. Lorsque l’aube se lève, la fillette se décide. Elle se relève, toute endolorie, et se met en marche. L’immense prairie où elle se trouve n’en finit pas. Epuisée, la fillette finit par s’effondrer. Elle s’endort presque aussitôt. Lorsqu’elle se réveille, il doit être près de 5 heures de l’après midi. L’enfant se relève. Elle cherche du regard. Quoi ? Elle ne sait pas… Puis elle se remet en marche. Elle part dans son monde intérieur. Lorsqu’elle sort de sa planète, il fait nuit. Elle est au beau milieu d’une forêt. Crysa fit encore quelques pas, la peur au ventre, lorsqu’elle trébuche. La fillette ferme les yeux et pousse un cri. Lorsqu’elle rouvre les yeux, elle se rend compte que la moitié de son visage est dans l’eau. L’enfant se relève, et regarde l’eau. Un rayon de lune filtré à travers les feuillage l’éclaire, un cours instant. Elle voit son visage. Ses pupilles se dilate, elle est soudain secouée d’un spasme d’horreur et de dégoût. Derrière… Elle à vu ses ailes. La jeune fille, genoux à terre, les mains dans l’eau, se met à vomir. Cette vision la répugne. Elle ne veux pas. Elle ne l’accepte pas. Ces choses ne font pas partie d’elle. C’est tout simplement impossible. Crysa finit par s’évanouir. Laissée pour morte dans la forêt.
Lorsqu’elle se réveilla, elle se trouvait allongée sur un lit. La fillette se trouvait dans la maison d’un vieux couple d’éleveurs. C’était l’homme qui l’avait retrouvée inconsciente dans la forêt, lors d’une de ses longue balades. A côté d’elle, il y avait une petite table. Dessus, une petite nappe brodée supportait une assiette plein de nourriture, un verre remplit d’eau, et des petits couverts en argent. Sans réfléchir, l’enfant se redressa et se mit à manger férocement, avec les doigts. Elle venait juste de finir de manger lorsqu’une vielle femme entra dans la pièce. La femme de l’éleveur qui l’avait trouvée dans la forêt. Celle-ci sourit et, s’approcha de Crysa. L’enfant recula instinctivement tout au fond de son lit, et se plaqua contre le mur, déployant ses ailes, et les aplatissant contre la pierre recouverte d’étoffes de couleurs. Kayla, car tel était de nom de l’éleveuse, admira les magnifiques plumes noires des ailes de la fillette, et lui dit…
« Ne t’inquiète pas, je suis ton amie… Comment t’appelles-tu ? »
Crysa, surprise par la gentillesse et la douceur de la voix de la femme, glissa jusqu'à s’asseoir sur le matelas. Elle répondit, timidement :
« Crysa… Et toi ? »
La vielle femme sourit tendrement. Elle lui rappelait sa fille, qui avait été tuée vers l’âge de 16 ans par des lycanthropes.
« Kayla. Viens avec moi, Crysa. Ne t’inquiète pas, je ne te ferais pas de mal. Mais tu es toute sale, il faut que tu te laves. »
Crysa hésita un instant, puis finit pas céder. Elle se leva, encore toute faible, et suivit la femme jusque dans la salle de bain. Pendant que Crysa se lavait, Kayla partit chercher des vêtement, dans l’ancienne chambre de sa fille. Elle ne put retenir une petite larme, lorsqu’elle attrapa un haut datant des huit ans de sa petite. Lorsqu’elle revint, Crysa était déjà sortit.
Le vieux couple adoptèrent Crysa, après avoir mener des recherches dans tous les villages alentours. Elle vécu de merveilleuses années avec eux. Crysa apprit à lire et a écrire grâce à Kayla. Elle lui montra la finesse, la subtilité. Elle lui apprit à dessiner, à imaginer. Quant à son père adoptif, Ehano, il lui apprit à élever les animaux, à les comprendre, à les aimer. Il lui apprit aussi à se battre, mais aussi a respecter les autres. Elle finit par apprendre à parler avec les animaux. La vie était douce ici, tout le monde avait finit par l’accepter, Crysa avait même réussit à accepter ses ailes. Elle avait accepté de en pas être comme les autres. Accepté son statut d’Ange Déchue.
Pour ses 14 ans, son père lui offrit un magnifique poignard. La sur la lame d’argent parfaitement aiguisée, de magnifiques et fines gravures représentaient un loup ailé, devant la lune. Le manche en bois d’ébène était incrustés de petites pierres précieuses de toutes les couleurs. Sa mère adoptive lui offrit aussi un magnifique arc, ainsi que des flèches aux pointes d’argent massif. Un nouvelle année passa, où Crysa apprit à chassé. Le jour de ses 16 ans, Crysa alla trouver ses parents. Elle leur annonça qu’elle allait partir. Sa décision était prise. Elle voulait découvrir le monde, car elle ne connaissait que ces plaines et forêts à perte de vue, et son petit village. Inquiets, ils refusèrent d’abord. Et puis, peu de temps après, ils finirent pas accepter. Sa mère lui cousu une magnifique paire de bottes noires, en velours et en cuire. Crysa, émerveillée, Les mis aussitôt, et s’en alla. Elle survola ses forêts bien aimées, puis arriva dans un premier village, plutôt grand. Le sourire aux lèvre, l’allure fière, Crysa se mit à arpenter les rues. Sur son chemin, tout le monde s’écartait, partait en courrant, ou la regardait, l’air mauvais. Elle ne comprenait pas. Pourquoi les gens la regardait-ils ainsi ? Qu’avait-elle donc fait ? Crysa finit par les ignoré, et repartit. La nuit tomba, et Crysa trouva une auberge où elle dormit. Le patron, qui était un homme gentil et non superstitieux, l’accueillit comme tous les autres voyageur. Au milieu de son repas, un elfe entra dans l’auberge. Celui ci demanda aussi une chambre, s’approcha de sa table. Que lui voulait-il, celui là ? Elle le sut très rapidement.
« Puis-je m’asseoir ? »
Crysa, surprise mais enjouée, accepta de bon cœur. Durant tout le repas, ils discutèrent. L’elfe s’appelait Arwen, il avait 17 ans, il avait quitté sa famille un an auparavant pour visiter le monde, tout comme elle. Il se rendait alors à Càdré Ima, comme elle. Tous deux surprit, Arwen finit par lui demander timidement :
« Est-ce qu’on peux faire le voyage ensemble, Crysa ? Je serais si heureux d’avoir quelqu’un avec moi, et d’autant plus une compagnie comme toi… »
Crysa rougit, et accepta. Arwen avait beaucoup de charme, et c’était quelqu’un de très bien. Elle l’appréciait beaucoup.. Le lendemain, ils repartirent ensembles. Crysa marchait, pour ne pas le dépasser. Elle se rendit compte que c’était beaucoup plus fatigant que de voler ! Alors, elle attrapa l’elfe dans ses bras, et s‘envola. Leurs deux poids combinés l’empêchait de monter très haut, mais ils allaient beaucoup plus vite, et ils s’amusaient beaucoup. Lorsqu’ils arrivèrent à destination, quelques jours plus tard, il faisait presque nuit. Lorsque les habitants virent Crysa, ils crurent que la mort venait chercher l’un d’entre eux. Ils courraient se réfugier. Incrédules, les deux amis les ignorèrent. Mais lorsqu’ils voulurent entrer dans une auberge, on chassa Crysa. Arwen, fou de rage, se battit contre un homme, qui avait attaqué son amie. Il le tua, et ils furent chassés. L’Ange Déchue ne comprit pas pourquoi Arwen avait ça pour elle. Il lui dit d’y retourner, et d’y dormir, mais il refusa catégoriquement de la laisser seule. Ils se couchèrent donc dans un bois, à côté de la ville. Crysa ne trouvait pas le sommeil. Elle ne comprenait pas. Son cœur battait à tout rompre, elle souriait dès qu’elle voyait, entendait ou sentait son ami, et rougissait légèrement dès qu’il lui parlait. Lorsqu’il lui faisait un compliment, elle était obligée de tourner la tête pour ne pas lui montrer à quel point elle était rouge. Elle alla s’assoire au bord d’une rivière, dans une clairière toute proche de leur petit campement. Elle regarda la lune, se lune bien aimée, celle qui la guidait. Sa vraie mère. Soudain, elle sentit quelque chose lui caresser la joue, et vit une ombre devant elle. Elle comprit que c’était son ami. Il remonta sa main sur sa nuque, ce qui la fit frissonner. Puis il passa sa main dans les cheveux de la jeune ange. Elle sourit. Il lui caressa ensuite les ailes. Elle les étira, puis la remit normales. Crysa se retourna. Son ami la regardait, un sourire tendre sur les lèvres. Dans ses yeux… Crysa se mit à rougir. Il se pencha, attrapa la main des on amie, et la fit se lever Crysa s’attendait à ce qu’il l’emmène au campement. Mais elle vit qu’il s’approchait. Son visage approchait du sien. Il lui déposa un tendre baiser sur les lèvre. Pour la première, c’est Arwen qui se mit à rougir. Il lui murmura deux mots. Ces deux mots dont elle rêvait depuis qu’elle l’avait rencontré. Deux mots qui marquèrent le vrai début de sa vie.
« Je t’aime… »
Crysa le tira doucement vers lui. Ils s’enlacèrent. Crysa était bien plus qu’heureuse.

Le jours passèrent, puis les mois. Le jeune couple continua à visiter le monde. Crysa et Arwen défendait leur cause, se battaient, vivaient. Mais sa famille lui manquait. Un matin, Arwen s’approcha de Crysa, et lui déposa un petit baiser sur les lèvres. Il avait l’air malheureux. Cela brisait le cœur de Crysa. L’Ange déchu demanda à son compagnon ce qui n’allait pas.
« Cette nuit, j’ai reçut un message. Mon père est mort. Je dois rentrer chez moi, pour les funérailles… »
La jeune femme comprit. Il allait devoir partir, et sûrement sans elle. Son cœur fit un bond dans sa poitrine. Elle chercha son regard, mais il était fuyant.
« Arwen… Je veux venir avec toi… »
L’elfe fit non de la tête. Une larme coula. Cette séparation le faisait autant souffrir que la mort de son père…
« Non Crysa… Je dois y aller seul. »
La jeune fille, affolée, lui attrapa les mains et les serra contre son cœur.
« Pitié Arwen, ne me laisse pas… J’ai besoin de toi, tu es ma raison d’être… Je t’aime… Emmène moi… »
Arwen refusa encore. Mais il lui fit un promesse :
« Je te promet, Crysa, je te promet que dès que se sera finit, je te rejoindrais. Où que tu sois, je te retrouverais. Et alors là, nous pourrons vivrent ensemble, pour toujours… »
L’Ange Déchue accepta, mais cela lui brisa le cœur. Ils se séparèrent dans la journée, et non sans larmes. Crysa décida de rentrer dans sa famille. Elle se mit en route, en volant. Elle avait maintenant 18 ans et demi. Lorsqu’elle arriva chez elle, Crysa comprit que ses parents étaient morts. Tous ses amis dans le village vinrent la consoler, mais rien n’y fit. Elle avait perdu ceux qui l’avaient aimé, câliner, ceux qui l’avaient nourrie, consoler, éduquer… Elle ne pouvait pas rester. Mais avant de partir, Crysa entra dans sa maison. Elle y récupéra des objets appartenant à ses parent décédé. Le collier de Kayla, l’épée d’Ehano. Au moment où elle allait sortir, Crysa vit une magnifique robe posée sur une chaise. Elle s’approcha, et vit un petit bout de papier posé dessus. L’Ange le prit, et lut…
« Ma petite Crysa… J’ai cousus cette robe pour toi, pour ton retour. Lorsque ton père est mort, je savais que je n’en avait plus pour très longtemps non plus. Alors je t’ai écrit ce mot, pour te dire à quel point je t’aime. Et même si tu n’est pas vraiment notre fille, nous seront toujours près de toi, ma fille. A chaque instant de ta vie. Promet moi d’être heureuse, Crysa. Promet le moi. Jure le. Mais surtout n’oubli pas. Il y a des hauts et des bas, dans la vie, mais elle ne s’arrête pas pour autant… »
Crysa se remit à pleurer. Elle pris la robe, et l’enfila. Elle coinça son épée à la petite ceinture de tissus qui lui entourais la taille, et s’en alla pour une ville qu’elle et Arwen n’avaient jamais visité. Ôliàceria.

Je pensait aussi mettre l'histoire de ma louve... Vous voulez la lire ? ^^

Super histoire,mais si on est censé faire des histoire de cette taille la minimum,je m'incris pas,ca va pas fonctionner.^^Je veux bien celle de la louve.

Loool nonononon, c'est aps cette taille minimum, l'histoire, t'inquiète.. xD

Moi je veux voir ton histoire à toi !!^^
[J'espère être dedans !! tongue

]

Ahh, nan, l'histoire de ma louv,e mais pas de LEgend Pets ! Désolée Ice !

C'ets ma potite Ellana chérie, ma fursona de DeviantArt...

Il est vrai que la mienne sur Elvarion est pas trop longue Razz

.

Né à Oliàceria, il y grandit durant ses 15 premières années comme un enfant normal, ce qu’il était à cette époque, puis il eut pour l’age de ses 15 ans le grand honneur de devenir mineur dans la mine de marbre. Pendant 5 ans, il y travailla avec acharnement, dépassant les plus âgés dans la productivité, et parallèlement, ses parents lui apprenait à utiliser la magie des elfes, à savoir maîtriser la terre. Ainsi, il pouvait modifier la structure d’un terrain, faire pousser des plantes, ainsi que faire de l’eau par ses mains. Il s’y entraîna intensivement et devint excellent dans la pratique, ce qui lui valut un rang de jardinier en plus de son rang de mineur. Mais un jour, tout bascula, il y eut un effondrement dans la mine, et il fonça pour sauver les autres mineurs, qui menaçaient de se faire ensevelir… Il utilisa toute sa force pour construire un piller de terre, qui devint aussi dur que de la roche et retint un temps l’effondrement… Une fois tout les mineur a l’abris, épuisé, il relâcha la magie et le pilier redevint de terre friable, et il eu beau courir, il fut ensevelit. Il ne sut pas combien de temps il resta la, dans le noir, mais bien vivant… il savait seulement qu’il avait froid, faim et qu’il ne sentait plus sa main droite… Il finit par être sortit, et il fut vite emmener chez un médecin. Il ne pourrait plus jamais être mineur après avoir perdu sa main, bien qu’il en garda le titre et les avantages ainsi qu’une prime pour les risques qu’il avait encourus. Il se mit alors à lire énormément, il fit importer des livres de tous les royaumes, et après trois ans, mit tout son argent dans une œuvre : se faire reconstruire une main. Il fit alors venir un maître nain et un maître elfique, l’un forgerons d’armes magnifiques et surtout, reconnue pour être discrètes, le nain reconnu pour avoir déjà, moyennant payement, fait des membres artificiels… Pendant près de 1 ans, les 2 êtres travaillèrent au projet, et vint le jour de l’opération. Lethao apprit aussi qu’il ne pourrait pas dormir, sous peine de mourir pendant l’opération. Il resta donc éveillé alors que l’on lui charcutait le bras sans ménagement, attaché par des puissants liens qui lui faisaient mal. Après trois heures ou il ne tint son esprit veiller que grâce à son envie de vivre plus que tout, La main mécanique fut faite, ainsi que la lame qui en sortait par la pensée de son possesseur… Il était alors fin près… Il partit alors de sa citée natale pour apprendre la vie dans les autres royaumes… Sur les nombreux chemins qu’il parcourut, et sur les chemins de fer, il rencontrât souvent misère et tristesse, et sa vision du monde s’assombrie. En dehors de son pays, la vie était injuste et moche, et cela il ne pouvait l’accepter. Enfin, pour les premières fois il vit des personnes se battre à l’épée. Il se l’était faite faire lui, plus pour le pratique que pour le combat, mais bien vite il fut obliger de l’utiliser…contre d’autres personnes, des voleurs qui en voulaient à son argents et a sa vie. Il du alors se défendre, et tua accidentellement un des voyous ce qui le marqua. Il allait se laisser tuer pour cet acte horrible quand il fut sauver par un homme, maître d’armes en voyage pour apprendre plus de technique de combat. Celui-ci lui expliqua que la vie était imparfaite, et lui proposa de le suivre dans son voyage, alors il lui apprendrait à se battre avec son épée, et en même temps il pourrait regarder le monde et voir les imperfections qui le construisaient. Ainsi, 6 années passèrent, ou il vit la plupart des villes de Cléazy, Ilmirès et Lugiata… Il aida alors les gens dans la misère quand il le pouvait, et se perfectionna au combat au corps a corps, sa constitution de mineur aidant pour beaucoup, et il finit par égaler son maître. Alors, a 30 ans, il décida de rentrer chez lui. Le voyage de retour lui prit un ans, ou il fut obliger de se battre à nouveau. Mais il avait trop besoin de se ressourcer et son périple n’aurait plus d’intérêt s’il ne revoyait pas sa maison, ses amis, sa famille… Une fois la bas, il se perfectionna à nouveau dans la magie… Et redevint un jardinier. Il ouvrit une échoppe ou il vendit ses fruits et légumes à qui le voulait, et apprit le combat aux rares jeunes de la villes voulant comme lui faire un voyage. A 35 années, ses parents qui étaient partit en voyage dans leur terres natales disparurent sans laisser la moindre trace, et cela le déprima, mais il décida qu’un jour il les retrouverai, mais qu’avant il devrait expérimenter la vie de tous les habitants de ce royaumes… Et il devrait se faire des amis pour aller les chercher aussi, car seul il ne pourrai rien, les terres sauvages du Nord étant inexplorables seul… Il se mit en route, son argents ses fruit et ses armes en poches, cherchant l’aventure et l’expérimentations de la vie…

Mais sur telrunya Smile

Lynxord a été abandonné étant enfant avec un grand arc et un beau katana devant la demeure d'humain. On a supposé que ses parents étaient poursuivis et on préférés abandonner leur fils plutot que de le laisser mourrir. Il vécu jusqu'a l'age de 5 ans comme un humain, mais un visiteur ange arriva dans le village et le méprisa, ayant reconnu en lui un elfe. Lui, très troublé de ce méprit alla voir ses parents adoptifs pour en comprendre la raison, et il lui dire simplement qu'il n'était pas humain mais elfe. Trop jeune pour comprendre les conflits entre anges et elfes, il décida d'aller voir ce nouvel arrivant pour lui demander pourquoi est-ce qu'il le detestait, mais au lieu d'une reponse simple il reçu un coup de pied dans le ventre et il se fit engueulé, l'ange lui disant qu'il ne voulait pas être approché par un elfe puant. Il garda une certaine rancoeur envers les anges pendant un certain temps, mais il finit par la vaincre.

Revenon a nos mouton : après qu'il reçut cette raclée, lynxord décida de ne plus jamais se faire traité de la sorte par personne et décidat de lui même d'aider ses parents au champs. Il labourra les grands champs a mains nue pendant des années, refusant de se faire a nouveau mettre a terre. 4 années passèrent, et lynxord grandit tout en devenant fort, mais un grand malheur s'abatit sur son village : les vampires, meprisables créatures decouvrir ce camps d'agriculteur et se reunnirent pour prendre tout les habitants dans leurs rangs. Par chances leurs plans furent découvers, mais beaucoup trop tard : un voyageur courait et nous hurlat fuyez, les vampires attaques! mais les villageois ne pouvait pas fuir assez vite, et decidèrent de defendre leur village coute que coute. Lynxord voulut bien sur combattre a leur cotés, et son père lui montra alors les armes avec lesquelles on l'avait trouvé : si belles, d'un diamant si pur...

Mais il n'eu pas l'occasion de s'en servir, car son père l'assoma et le cachat pour qu'il rechappe au vampires s'ils perdaient la bataille. Bien sur ils ne savaient pas que la bataille était peine perdue, car ils ne connaissaient aucun moyen de les vaincre... Lorsque Lynxord se reveillat, après 10 heures de sommeil, il sortit et decouvri un champ de ruine : tout était mort, même les bètes n'y avaient pas échappé. Mais il lui restait un espoir : il ne trouva le corp d'aucun villageois, seul leur sang coulait par terre, irrigant ses labours. Il était alors trop jeune pour comprendre ce qu'il s'était passé, que ses parents ne le reconnaitrai même plus s'il les revoyait : ils étaient passé dans le camps de l'ennemi... Il décidat donc de chercher si il y avait encore des personnes vivantes dans ces terres desolée, heuresement, se dit-il, que mon père m'a appri a chasser a l'arc il y a un ans, sans ça je serai surement mort de faim. Et c'est la tête pleine de bonnes inttention qu'il partit de la terre des morts... Pendant son voyage il ne rencontra pas ame qui vive, pendant une année entiere dans se monde a l'agonnie il marcha, sans cesse, se perfectionnant et devant meilleur tireur a l'arc, il ne laissait jamais ses flèches, bien trop précieuses : 30 flèches de pur diamant, qu'il lavaits a chaque fois qu'elles avaient étés soulliées de sang.

Il finit enfin, peu de temps après ses 10 ans, par rencontrer un vivant : un ange, mais il était en piteux état. Il lui dit que lui et son groupe avait été attaqué par les vampire et qu'il était le seul survivant. Il dit qu'il n'avait encore jamais vu un groupe de cette taille. Ils étaient 150 soldat entrainés, mais ils tombèrent sur une centaine de vampire, déja que contre une 50 ils auraient eu du mal, la se fut impossible. Après cela il perdit connaissance, et Lynxord se sentit obligé de s'occupé de ce pauvre ange. Il vit qu'il avait une ouverture sur le front, mais aussi un poignard dans la jambe, encore coincé. Il ne savait que faire pour le soigné, mais il savait que le poignard ne devait pas rester dans la jambe, et après maint efforts il finit par le retiré, ce qui reveilla l'ange qui hurlat de douleur. Après cela il mit de l'eau claire qu'il avait dans une gourde sur la plait du soldat, esperant que ça le calmerai. Pendant une semaine il resta caché, vivant sur les quelques maigres reserve de viande qu'il avait pu faire, partageant avec le blessé. Celui-ci reprit conscience 2 jours après et il discutèrent pendant de longues heures, même si Lynxord ne comprennait que peut de chose a ce que racontait l'ange. Il ne comprit qu'une seule chose : leur groupe se dirigeait vers une citée inconnue mais qui d'apès ce qu'ils avaient entendut, avait trouvé un moyen de tuer definitivement un vampire. Il s'appelait Diegilas, et ils étaient simplement allé verifié si la rumeur était vraie. Après une semaine il pu marcher, bien que difficilement et il continua sn voyage avec Lynxord. Il fut d'abord étonné lorsqu'il vit pour la premiere fois le jeune elfe a l'oeuvre, tuant avec son magnifique arc un oiseau en plein vol. Il lui demanda alors qui lui avait paris, et se fut son tour de raconter son histoire, il lui dit que son père lui avait apprit avant que tout le village disparraisse sans laisser de trace après qu'il fut assomé parce qu'on avait annoncé une attaque de vampire, et qu'il recherchait alors ses parents, et que c'était la premiere personne qu'il rencontrait depuis 1 ans, une longue année de solitude... 1 mois plus tard, Diegilas commença a apprendre a l'elfe comment se servir de son épée, un katana, il lui apprit les rudiment d'un duel et Lynxord, heureux d'apprendre quelque chose suivit avec assuiditée les cour de son ami, et devint vite un bon combattant a l'épé, enfin vite... 1 nouvelle année venait de s'écoulé et il eu enfin 11 ans. La son amis et lui eurent une grande peur, car un petit groupe de vampire croisa leur route, 3 qui leur foncèrent dessu alors qu'ils était a plus de 20 metre. Diegilas réagit tout de suite et dit a Lynxord de tirer avec son arc, mais il refusa de tirer avec ses flèches et pris de vieille flèches de bois usées, que diegelas avait sur lui quand ils se rencontreres. Il en arreta 2 net de loin, mais le 3eme evita ses flèches et arriva au corp a corp. Meme s'il fut vite vaincu, l'ange devoila ses ailes et enpporta Lynxord le plus loin et le plus vite possible, avant que les vampires ne se releves et ne revienne les tuer. Lynxord était assez grand et il apprit donc la veritée sur les vampire : ils étaient invncibles.

Il décidèrent d'un commun accord de se diriger vers la mysterieuse citée, mais celle ci était loon, très loin pour 2 voyageur a pied. Pendant 2 nouvelles année ils marcherent sans rencontré personne, mais enfin après tant d'effort il arrivèrent dans un village ou les gens étaient enores en vie. Ils purent, grace a quelques pieces de l'ange, dormir dans un vrai lit, chose qui n'était pas arivé depuis près de 4 année pour l'elfe, 3 années pour l'ange. Il mangèrent a leur faim et puirrent discuter avec d'autres personnes. A que la civilisation leur avait manqué, comme ils étaient heureux de retrouver des visages plus ou moin amicaux. Ils restèrent 3 ans dans ce village, ou une centaine de personne travaillait tout les jours. Lynxord retrouva l'art de labourer et Diegilas l'art du combat : il aprti a toute personne du village voulant apprendre les rudiment du combat. Ils se firent des amis, Lynxord eu son premier amour, une jeune humaine, ayant a peu près son age, qui était si belle a ses yeux. Rousse, avec des yeux d'emeraude, toujours souriante. Elle était la fille de l'agriculteur qui l'employait, et il n'hésitait pas a faire quelques heures supplementaoires non payée pour rester près d'elle, qui les surveillait pendant qu'elle se recoiffait. Il utilisait tout son argent soit pour lui offrir des miroir, des poupée et tout ce qu'elle pouvait demander, soit pour acheter de nouvelles flèches pour aller chasser. Ces 3 abbées furent les dernieres qu'il pu vivre, heureux et inscoussiant. Il avait toujour l'espoir de revoir ses parents, et cet "espoir" finit par être exaussé... Alors qu'il avait 16 ans depuis 3 mois, les vampires se reunnirent, commes pour la premiere attaque de sa vie, devant le village.

Ils n'étaent qu'une vingtaines, mais c'était déjà beaucoup trop pour une centaines de villageois a peine entrainés. Lorsqu'ils chargèrent, Lynxord chassait, mais il entendit des cris veant du village. Il s'y precipitat, redoutant ce qu'il arrivait, mais quand il arriva, c'était trop tard, et comble d'irronie, il vit ses parents, en tant que vampire, tuer sous ses yeux la fille qu"il aimait, et pour ne pas avoir a la combattre un jour l'acheva avant qu'ils n'aient pu la vampiriser. Il tira sur ses 2 parents avant de s'enfuir, et sur le chemin il tombat sur Diegilas, a terre et mourrant, qui le supliat de l'achever, ce qu'il fit a contrecoeur, et il couru a travers la plaine, sans s'arreter seulement pour manger, il courru pendant des mois, et au jour de ses 17 ans, il arriva devant les porte d'une grande citée, majestueuse, et décida d'y rentrer...

Je les aime bien !

Là, c'est l'histoire de ma louve, Ellana... J'ai pas finit, il faut que je la continue ! Dans ces chapitres là je crois qu'elle apparait pas encore...

Prologue…

Le 23 Novembre - Institution R.E.A.S .

La louve noire est assise, la mine sombre. Son ventre cri famine, les loupiots s’agitent dans son ventre. Ses yeux bleus sont pleins de haine, une de ses paupière palpite nerveusement. Dans sa petite cage, elle a à peine la place de se coucher. La bête souffre. Ainsi que les autres animaux présent dans cette cave. Tous attendent, tous écoutent. Ecoutent la mort arriver. Attendent qu’elle vienne les chercher, les libérez de leur souffrance.
Soudain, un bruit rompit le silence de la salle. Le petit déclic qui leur annonce que l’un d’entre eux va partir. Un homme en blouse blanche descend les escaliers, et jète un coup d’œil furtif sur le contenu de la pièce. Il fait un bref signe de tête, satisfait. Rien a signaler. L’humain approche d’une cage, et jète de la nourriture dedans. Il fait le tour, nourrissant chaque animal. Une nourriture qu’ils n’auront plus avant au moins 5 jours. Au moment de nourrir l’ourse, il retrouve une forme indistincte, en boule au fond de la cage. L’exécrable être donna un coup de pied dans la porte. Pas de réaction. Tous comprirent. Tous le sentirent. Une âme s’était envolée. Kega leva ses grand yeux bleus fatigué et haineux vers l’homme. L’homme croisa son regard. Echange fugace.

La louve lui révéla son passé.

Chapitre 1

Les Hommes…

Le 11 Novembre – La Grande Forêt

Kega fit un grand sourire à son amie.
« - Je suis sûre que vous ferez de très bon parents, toi et Inaak !
- Merci, Feanie ! »
Feanie pencha la tête sur le côté, regardant tendrement celle qui l’avais toujours aidée lorsqu’elle était dans la besoin, ou qu’elle n’allait pas bien, depuis sa plus tendre enfance. Celle qui c’était occupée d’elle et de Pewio lorsque Meana, leur mère, s’était faite tuer par des chasseurs et que son père avait quitté la meute, souhaitant en construire une lui-même. Feanie et son frère lui devait beaucoup.
« - Un jour, toi et Chook vous aurez des louveteaux, vous formerez une magnifique famille, vous aurez votre propre meute… J’en suis sûre. Patience, ma chérie. »
La jeune louve hocha la tête. Après tout, Elle n’avait qu’un ans, alors que Kega en avait 4. Mais elle ne pouvait s’empêcher de l’envier. Elle frotta sa tête contre celle de sa mère adoptive, et courut rejoindre Pewio et sa petite bande.

Le loup gris était en train de chasser en solitaire, quand il sentit une odeur étrangère. Celle que le puissant canidé redoutait tant. Celle qui apportait le malheur. Celle de l’homme. Inquiet, Inaak abandonna la jeune biche qu’il traquait, et courut vers la caverne qui abritait sa meute et sa femelle enceinte.

Kega était en train de boire au petit ruisseau qui coulait devant la grotte, lorsque le dominant arriva, l’air nerveux et inquiet. Inaak courut près de sa femelle et frotta sa tête à la sienne, un peu plus rassuré mais toujours très tendu.
« - Qu’y a t-il, Inaak ? Tu as l’air inquiet…
- Les hommes... Ils sont dans la forêt, Kega ! Ils nous cherchent, j’en suis sûr. Nous devons trouver un autre repaire, la meute n’est plus en sécurité ici. Et j en voudrait pas qu’il t’arrive quelque chose, ni à nos enfant… »
Le loup caressa le ventre de sa compagne avec le bout du museau. La louve noire regarda autour d’elle, admirant sa meute. Sa chère meute… Elle ordonna :
« - Va prévenir le clan, nous allons nous mettre en route, nous enfoncer encore plus loin dans la forêt. Là où nous serons à l’abris. »
Inaak approuva, et s’éloigna, prévenant tous ceux qui étaient sur son passage. Kega alla flairer aux alentours. Elle sentit aussi leur odeur. La bête frémit. Lorsqu’elle revint, ils étaient tous près à partir. Elle sourit, satisfaite mais nerveuse. Au moment où le chef déclarait qu’il était temps de partir, Pewio alla voir Kega.
« - Tu n’as pas vu ma sœur ? Je le cherche depuis je ne sais combien de temps !
- Non, je pensait qu’elle était avec toi et Chook !
- Je vais la chercher.
- Non, Pewio. Je vais allé la chercher. Reste avec Inaak, dirige le clan avec lui en mon absence.
- D’accord. Revient vite… »
La louve sourit à son fils adoptif. Elle lui lécha la joue, puis partit vers la forêt, en sens inverse. Inaak la vit partir, et confia le clan à Pewio. Il avait pour ordre d’aller toujours tout droit. Inaak s’enfonça dans la forêt, à la suite de son amie.

Chook poussa joyeusement Feanie, la faisant tomber dans l’herbe. Il se mit au dessus d’elle, et lui lécha le museau avec un sourire charmeur. Elle le fit tomber à côté d’elle en riant, et frotta sa tête à celle de son compagnon. Soudain, une voix se fit entendre. Puis deux. Trois. Les hommes. Apeurés, les deux louvards bondirent sur leurs pattes et, se retrouvèrent nez à nez avec Inaak et Kega, qui affichaient tous les deux une mine apeurée. Feanie voulut dire quelque chose, un regard d’Inaak l’en dissuada.
« Ils sont là…, Murmura Kega. »

Chapitre 2

La capture de la Louve

Le 11 Novembre – La Grande Forêt

Kega fit le gros dos, doublant soudainement de volume. Inaak dévoila ses crocs, les oreilles basse, prêt à bondir. Feanie et Chook se mirent derrière les dominants, apeurés. Et le premier homme apparut. Grand, barbue, la mine froide et sans pitié, il portait un fusil sur l’épaule. Il ouvrit la bouche, s’apprêtant à appelé ses compagnon, mais les loups ne lui en laissèrent pas le temps. Kega fondit sur lui, comme une flèche, Inaak arrivant par derrière. Le vertical tira dans le vide, avertissant ainsi les autres chasseurs. Ils arrivèrent, et le combat s’engagea. Pendant que le mâle combattait un des hommes, Kega se faisait encercler. Au moment où elle comprit qu’elle n’avait aucune chance, elle cria à son compagnon et aux deux jeunes, qui s’étaient caché :
« - Inaak ! Vas t’en, protège les enfants !
- Non ! Je ne t’abandonnerais pas ici ! »
Il mordit l’humain, et regarda Kega droit dans les yeux. Un mélange parfait, noisette et vert. Un regard plein d’amour, de détresse, de peur.
Tandis que Chook tentait un héroïque assaut, un homme tira sur Inaak, le propulsant à quelques mètres. Kega hurla, se remplissant de haine à la vu du sang de son mâle, et attaqua pour la dernière fois les hommes. L’un d’entre eux lui tira dessus.
Elle se sentit vaciller. La louve vit Chook et Feanie essayer vainement de la sauver, elle les entendaient l’appeler. La bête ferma les yeux. Elle ne sentit pas que des bras la transportait, le ballottait, la cognait, la glissait dans une cage, dans un car. Elle avait vu sa famille pour la dernière fois.

Chapitre 3

L’Opération

Le 23 Novembre - Institution R.E.A.S .

L’homme cligna des yeux. Il avait eu des sortes de flash, qui lui avaient sembler durer plusieurs heures. Il regarda sa montre. Cet étrange phénomène n’avait pas durer plus d’une expiration. Il sortit un collier, un long bâton en fer, et attrapa la louve à travers les barreaux, avec. Cet être sans pitié n’avait que faire de ce qu’il venait de voir. Il colla la bête aux barreaux, et lui mis le collier, qu’il attacha à une laisse. Il ouvrit la cage et tira Kega en dehors. Elle grogna mais ce laissa faire, trop faible pour pourvoir agire. Il la fit monter les escaliers, tirant sur la laisse pour qu’elle accélère. En vain. Arriver devant la salle d’opération, une autre de ces étranges bêtes sans poils la pris en charge. Il la mit sur une table d’opération, lui donna un médicament. La dernière image qu’elle vit de son agresseur était un sourire sadique et satisfait à la fois. Elle s’endormit.

La bête entra dans une salle. Sur une table d’opération, une autre louve était allongée. Des hommes fouillaient dans son ventre, avec de petits appareils en fer. Cette louve, elle la reconnue. Elle l’avait vu souvent dans l’eau, en face d’elle. Cette louve, s’était elle. Mais ça, elle ne le savait pas. Kega baissa les oreilles, ce demandant ce que ses humains faisait à cette créature qui lui ressemblait tant. Elle grogna, ils l’ignorèrent. Elle leur sauta dessus, elle passa à travers.
« Mais où suis-je ? Et qui est-elle ? se demanda la bête. »
Elle posa ses pattes sur la table, monta, et vit…

De la lumière blanche. Puis des formes en noir et blanc. Puis du bleu. Du rouge. Du jaune. Son ventre la faisait souffrir. Kega ferma les yeux. Elle n’avait pas vu. Ou du moins, pas ce qu’elle voulait. La louve tourna la tête vers l’humain et ré-ouvrit les yeux en gémissant. Que lui avait-on fait ? Elle se mit à couiner. D’abord doucement, puis de plus en plus fort. Epuisée, elle laissa tomber sa tête sur la planche de métal glacé sur laquelle elle se trouvait. Un homme arriva, et lui injecta une substance étrange directement dans la gueule. Sa faim s’envola. Il lui fit couler de l’eau dans la bouche. Elle avait un goût amer, âcre, un peu salé. Elle essaya de cracher, n’y arriva pas. Il la força à avaler. Elle s’endormit de nouveau.

Chapitre 4

Dernier espoir…

Le 25 Novembre - Institution R.E.A.S .

Kega se réveilla enfin. Elle était dans une salle à la lumière faible et blanche, couchée sur un grand tissu. Son ventre la faisait toujours souffrir, mais moins. Elle n’avait ni faim ni soif. Seule dans cette petite salle, elle se mit à paniquer. Un homme entra, et s’assit loin d’elle, tout en l’observant. La louve arrêta de gémire et l’observa, méfiante et agressive. Les oreilles et la tête basse, elle attendait qu’il viennent pour l’emmener ce faire torturer. Il n’en fit rien. Elle redressa les oreilles, curieuse. Que voulait cet être à deux pattes, cet homme immobile ? Elle gratta nerveusement le sol de sa patte avant gauche, il se mit à lui parler calmement. Il resta ainsi pendant une demi heure avant de se lever. La louve ne fit rien. Il s’approcha. Elle baissa simplement les oreilles. Il l’appela. Elle ne bougea pas. L’homme ressortit et alla lui chercher de la nourriture.
Le lendemain, il revint. Refit la même chose. Sans succès. Kega ne l’acceptait pas, elle avait compris ce qu’il voulait. L’apprivoiser. Elle n’allait pas ce laisser faire ! Il se contenta finalement de la nourriture, et la laissa tranquille le reste de la journée.
Encore une fois, le lendemain, il vint. Elle le laissa se rapprocher. La « séance » d’après aussi. Les jours passèrent, un lien se créait doucement entre eux. Une sorte d’affection, d’amitié, de compréhension. Sans jamais ce toucher. La louve commença à s’attacher à lui. Il la nourrissait, ne la touchait pas, ne l’emmenait pas régulièrement se faire piquer, comme les autres. Ils se comprenaient. Deux semaines passèrent, les scientifiques commencèrent à s’impatienter. Les petits auraient déjà dû venir au monde. Ils se demandèrent si ils ne s’étaient pas trompés dans leurs calcules. Mais les verticaux la gardèrent, la piquant, l’opérant… La détruisant.
Peu de temps après, le vertical qu’elle aimait tant revint la voir, avec de la nourriture. Il l’a déposa à un mètre de la louve, et recula. Kega se jeta dessus, mordant à pleine dents dans la viande tendre et juteuse. L’homme attendit qu’elle eu finit, puis il s’approcha. Trop près, pour Kega. Elle baissa les oreilles, lui lança un regard de reproche, mais ne fit aucun geste agressif. Et puis il sortit le collier. Soudain méfiante, la pauvre louve ce demanda si son ami allait bien. Il lui passa le collier, et lui caressa la tête. Kega se mit à gronder, et le choppa doucement. Elle s’en alla à l’autre bout de sa prison. Il venait de tout faire rater. Il venait de rompre leur lien. Leur amitié. Il l’avait touchée. Il l’avait trahit. L’homme l’appela doucement, par un nom qu’elle ne connaissait pas. Elle se mit à gronder plus fort. Et puis, étrangement, il lui sauta dessus, aplatissant la louve à terre. Bloquée, la louve commençait à étouffé. Le vertical l’attacha à une laisse, et lui mit une muselière qu’il ferma mal, exprès. L’homme se releva, ouvrit doucement la porte. Il n’y avait personne. Il sortit doucement, traînant la louve derrière lui. Arriver à la sortit, il tira une fléchette somnifère sur les gardes, et sortit. Mais au moment où il s’apprêtait à détacher la louve, et à lui ouvrir la porte dont il avait la clé, d’autres verticaux arrivèrent. Les méchants. Les sadiques. Ceux qui l’avaient chaque jours torturée. Elle se mit à grogner encore plus fort. Et puis un coup de feu retentit. Suivit d’un deuxième. Un troisième. Un quatrième. La louve tomba à terre. Ses yeux se fermèrent. Elle avait peur…
Son Humain venait de tomber. Kega le sentit, car la corde tira soudain sur son cou, la faisait un peu bouger. Elle ouvrit doucement les yeux, et le regarda. Il était allongé près d’elle. Baignant dans une marre de sang, touché à la tête, au ventre, à l’épaule et enfin, à la poitrine. Elle se rendit soudain compte. Cet homme était son dernier espoir. Il venait de s’envoler, d’éclater en milles morceaux. Kega allait vraiment mourir.

Pauvre louve...Ca mle tarde de lire la suite.

Ben je suis en train de l'écrire... ^^

OUAAAAAAAIIIIIISSS!!!!!!!!!
(voici le cri d'une hysterique qui vient d'aprendre une bonne nouvelle.C'est une espèce en danger.merci de ne pas donner à manger,ni de toucher.Les chiens sont interdits.Merci.)

WAAAAAZZZZZAAARAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Voici un enregistrement du fabueux chant du Dner sauvage, dont il n'existe d'un seul spécimen, en pleine chasse aux castors moche en salopettes, autrement dit, Castorus Mochehus Salopettus.